Le récit des explorateurs
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 wolgang ou la lumière renégate

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wolgang
Toujours sur la route
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MessageSujet: wolgang ou la lumière renégate   wolgang ou la lumière renégate Icon_minitimeSam 29 Juil 2006 - 23:57

chapitre 1

Pendant bien des années wolgang avait révé de bataille épique,de construire sa légende, la veuve et l'orphelin n'était pas un cliché pour lui
C'est donc tout naturellement qu'il se présenta a l'ordre des paladins de stormwind. Malgré certaines lacunes en magie divine (son manque de foi envers les divinités?) sa hargne au combat lui permit de réaliser ce qu'il croyait etre un rêve. Le sort allait lui glisser un bien drole de tour ! La dernière année consiste généralement a voyager dans les villes voisines et de se mettre au service des milices afin d'aider à la paix et en retour de récupérer des lettres de reconnaissance des différents maires. mais c'est a la colline des sentinelles qu'il eu la première surprise comment pouvait on laisser le peuple avec si peu de moyen face au crime organisé des defias? Aprés une longue enquète il put trouver le repaire et une fois bien accompagné, descendre dans leur repaire enfoncer les portes et mettre a jour edwin van cleef .Simple ? non depuis quand un voleur clame t'il que sa cause est juste? C'est en fouillant la cabine d'une galère en construction que la vérité se dévoila edwin van cleef faisait partie de la guilde des maçons ! Ceux la même qui ont reconstruit stormwind aprés la grande guerre. A en croire les papiers il venait de tuer celui a qui on devait la splendeur actuelle de stormwind. le chef d'une guilde qui n'avait jamais été payé de retour . il venait de participer sans le savoir a une infamie vieille de déja dix ans ...
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wolgang
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MessageSujet: chapitre 2 de la où tout bascule   wolgang ou la lumière renégate Icon_minitimeVen 11 Aoû 2006 - 10:56

Si tout ce qui était écrit dans les papiers de van cleefest vrai, alors le gouvernement de stormwind était en grande partie responsable de l'existence des bandits.
mais une chose ne colllait, pas au reste pourquoi n'avoir pas envoyé de soldat ?
j'étais a l'époque bien placé pour savoir que les garnisons de gardes dans la ville était plus que suffisantes, il leur aurait donc été facile de se poser en heros en pleine marche de l'ouest et de régler le problème eux mêmes.
pourtant tout y était, livre de comptes, factures, même le journal ou le cadavre gisant avit vomi sa haine! ce n'étaient pourtant pas des choses que l'on invente facilement.
ma conduite de soldat m'imposait de rapporter ces preuves en haut lieu et pourtant la moindre des prudence m'aurait inciter a me faire oublier
je finis donc par décider d'aller au devant des ennuis mais pas sans préparatifs. notamment un moyen de fuite.

en rentrant a la capitale je me rendis d'abord dans les quartier des hommes du rang faire un paquetage (pas de fioritures, les haches, les lances les sabres!!) et le fixer solidement a mon cheval. Cette brave bete avait l'air de comprendre que le départ approchait puis je le sella et le sortit des écuries si il fallait partir vite, les garde fermeraient les portes et donc le meilleur endroit était en dehors des remparts juste sous le bureau du commandeur
il n'y avait qu'un étage a sauter de la haut mais cela imposait ne pas porter l'armure je ne pris donc que l'uniforme de service courant pas de plaques par ailleru des vetements civils m'attendaient déja dans mes sacs


en entrant dans la caserne un vieil ami qui était de garde m'apprit qu'il y avait du mouvement et que hormis les officiers seuls les hommes punis irai voir le commandeur.
si il y a vait de l'agitation la haut il n'y avait rien ici qui puisse le laisser le deviner

Il fallait que je rentre dans ce bureau il n'y avait donc plus qu'une solution mais elle m'en faisait déja fremir elle voulait dire fiche en l'air toute ma carrière, moi qui n''avait fait que ça de ma vie...

j'avais reperer depuis longtemps le manège des pretres de stormwind.
ils prétendaient ne pas pouvoir soigner telle maladie, puis se faisait graisser la patte pour faire le travail qu'ils auraient déja du faire.
un vrai racket pour les paysans du cru qui n'avait pas les moyens de s'offrir ces services prétendumment gratuit
mais le vrai pouvoir leur appartenant toucher au clergé c'était mettre fin a son travail que se soit pour les soldats ou les paladins.
la religion était vraiment l'allié du pouvoir

aussi quelle ne fut pas la surprise du sous diacre lorsqu'un rayon de lumère vint entourer un simple mendiant puis une main calleuse attraper le col de ce clerc pourl'envoyer voler par dessus l'autel .
Deux garde arriverent tres vite, je me laissai faire puisqu'il m'amenait directement la ou je voulait.
et puis sans arme ni armure qu'aurait je donc fait?

Le mendiant lui n'avait pas perdu sn reste et avait filer dans la pagaille pendanc que le pretre piallait d'une voix suraigué me lançant des menaces de mort
Dans une autre situation j'aurait surement pleuré de rire de voir un tel tableau.
Il fait quoi lui de "tendre la joue gauche"? il est vrai que j'avait pas tapé sur la droite.


de retour a la caserne sous les yeux ébahis de mon ancien copain de section je fus conduit au commandeur
tout militaire ayant le droit de s'expliquer sur ces actes il était d'office conduit devant le superieur de la garnison.
le commandeur était déja rouge de colère et aboyait à en faire trembler les carreaux.
je jetai alors tout les documents ramenés sur la table et bizarrement il devint blanc comme de la farine à pain.
"Alors c'est vous l'origine de tout le barouf que l'on a depuis deux jours. Vous rendez vous compte de tout les problèmes que me causent votre petite action. mais qu'est ce qui vous a pris de jouer les heros"
j'avoue que la, je ne comprenais plus rien. toujours est il que lorsque qu'il commença a hurler "gardes", je passais par dessus le bureau et surtout devant son nez pour sauter par la baie vitré juste derriere lui.
une fois en bas,et malgré une cheville douloureuse j'enfourchais mon vieux canasson pour filer avant que toute la ville ne soit au garde a vous pret a me sauer sur le poil

Il allait falloir que je m'exile un moment et j'avait aucune idée d'ou aller
par contre en guise de réponse je n'avait que d'autres questions

dans quel camp se trouvait le commandeur? défias? stormwind?
Quel était le camp le plu corrompus des deux?
Comment avaient ils eu vent de la mort de van cleef?
Et comment se fait il que personne n'avait l'air d'apprecier la nouvelle?

tout ça était de loin trop gros pour moi seul !

Et il restait un dernier illogisme a tout ça .comment ce fait il que l'on ne m'ai pas retiré les pouvoirs de la lumière puisqu'elle n'est accordée qu'aux representants du culte
apres tout je ne représentait plus rien vu que officiellement j'allai être considéré comme un traitre
or je n'eu pas de difficulté à les réutiliser pour soigner ma cheville ... ni pour quoique se soit d'autre
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